Vous allez rire, j’ai une bonne nouvelle. Ah! si, au cas où, j’ai de quoi vous remonter le moral. Avec cette vérité: nous autres, nous possédons plus de facilités que n’importe quel roi d’autrefois. C’est une banalité de le rappeler, mais cela m’est revenu à la lecture du roman historique de Maurice Druon sur Alexandre le Grand (Poche). Une page sur trois, je me suis surpris à plaindre Alexandre et ses hommes pour tout ce qu’ils ont enduré durant leur folle épopée.

Est-ce que vous imaginez? Moi petite fourmi humaine d’aujourd’hui, je me suis senti parfois plus puissant que le plus grand des conquérants. Ne rigolez pas, vous pouvez en dire autant: vous disposez d’avantages et de luxes à rendre jaloux les Césars de jadis.

Louix XIV, le pauvre, n’avait pas nos antibiotiques

Rêver d’être Cléopâtre ou Napoléon, quelle idée! Ces personnages qui forcent leur destin dans un combat solitaire et violent avant d’entrer dans l’histoire, c’est bien beau. Sauf qu