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Dur, dur d’être un renard

Benjamin Renner adapte au grand écran son renard de bande dessinée

Même s’il s’applique, le grand méchant renard n’arrive pas à la cheville de son modèle lupin. © Frenetic
Même s’il s’applique, le grand méchant renard n’arrive pas à la cheville de son modèle lupin. © Frenetic
Dur, dur d’être un renard
Dur, dur d’être un renard

Olivier Wyser

Publié le 21.06.2017

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Le grand méchant renard »   Après Ernest et Célestine, Benjamin Renner revient avec un film d’animation très personnel, tiré de sa propre bande dessinée Le grand méchant renard. L’histoire d’un renard peu doué qui kidnappe des poussins afin de les manger. Sauf que les trois petites boules de plumes prennent le canidé pour leur maman… Rencontre avec son réalisateur.

Quand est venue l’envie de faire un film des aventures de votre renard?

Benjamin Renner: J’ai fait la BD car j’avais besoin d’une pause après avoir réalisé Ernest et Célestine, un projet qui avait pris cinq ans. Mon producteur a eu l’idée d’en faire un long-métrage pour pérenniser le travail qu’on avait fait sur le film précédent où nous avions monté une

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