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Il n’y a pas photo: c’était quand même mieux avant

La finale de la Coupe de Suisse lorsqu’elle était une fête attendue, joyeuse et 
toujours bon enfant. © Keystone-archives
La finale de la Coupe de Suisse lorsqu’elle était une fête attendue, joyeuse et 
toujours bon enfant. © Keystone-archives

François Rossier

Publié le 27.05.2017

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Coupe de Suisse. Chronique » Je n’aime pas trop parler de moi, mais je me dois de commencer cette chronique par une confidence qui, au fil des lignes, deviendra une évidence: je fais désormais partie des vieux. Si j’en parle ouvertement, c’est que cette révélation a provoqué chez moi un choc et peut-être même un traumatisme que j’espère atténuer, voire guérir par le biais de cette chronique. Je ne m’attendais en effet pas du tout à me retrouver sur la pente descendante avant même d’avoir fêté mon quarantième anniversaire, mais après la réflexion que je me suis faite jeudi après-midi devant mon grand – et oui en 2017, on n’écrit plus petit – écran, le doute n’est plus permis.

Il a suffi de quelques plans larges de la finale de la Coupe de Suisse entre Sion et Bâle

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