La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Sébastien Buemi, une classe à part

Leader en endurance et en formule E, le Vaudois veut conquérir ce week-end les 24 Heures du Mans

François Rossier, Lignières

Publié le 16.06.2017

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Automobilisme »   Avec un grand-père pilote (Georges Gachnang), un père directeur d’un garage (Antoine), une maman passionnée de sports motorisés (Véronique) et une cousine mordue de compétition (Natacha Gachnang), Sébastien Buemi est tombé dans la marmite automobile dès sa naissance. Le kart qu’il a découvert sous le sapin de Noël à l’âge de cinq ans l’a propulsé sur les circuits avant même d’aller sur les bancs d’école. Le début d’une carrière prodigieuse qui l’a vu, après avoir brillé en karting à ses débuts, enchaîner trois saisons en formule 1, remporter le titre mondial en endurance (WEC) en 2014, puis celui de formule E deux ans plus tard.

Désormais âgé de 28 ans, le Vaudois, qui s’est adjugé huit des dix courses disput&ea

Articles les plus lus
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11