Véronique Roulin, Noréaz
Publié le 19.03.2022
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La lectrice en Liberté
Philanthropie » C’est en 2011 que Véronique découvre la Birmanie en compagnie de son mari et de la troisième de leurs filles. Subjuguée, cette secrétaire comptable retraitée comprend très vite que son histoire avec ce pays où vit désormais sa «famille de cœur» n’est pas près de s’arrêter là…
Véronique, vous avez, paraît-il, un fils en Birmanie…
Lors de notre premier séjour, j’ai sympathisé avec un jeune moine au retour d’un monastère près de Mandalay. De fil en aiguille, il m’explique qu’il n’a plus de maman et il ajoute, très simplement: «Est-ce que tu veux être ma maman?» J’ai été très surprise mais c’est vrai qu’il y a eu une esp&eg